image revolution

sans illusion sur Royal, mais sans état d'âme : battons Sarkozy.
Plus sa défaite sera une victoire de gauche, et plus il sera contestable que la gauche se compromette avec les libéraux-centristes.

numéro spécial de l'Humanité Dimanche sur le groupe Manouchian,en vente avec le DVD du film documentaire de Jorge Amat et Denis Peschanski, "la traque de l'affiche rouge".

un peu d'humour sur les chsoes qui fachent !
Thecandidat.pdf

La seule pub télé qui ait existé pour le journal l'Humanité intitulée ironiquement "merci patron" :

http://www.dailymotion.com/visited/search/l%27humanit%C3%A9%2Bpublicit%C3%A9/video/xai0z_merci-patrons

retrouvé au fond d'un tiroir : la jaquette de la cassette vidéo "le soviet"

Dans les années 80, devant l'offensive de l'industrie cinéatographique Reaganienne, avec les Rambo et autres Rocky, l'URSS contribua a ce film, d'un niveau tout  aussi  bas que  les films dont il prenait le contrepied. 

trouvé sur le nouveau site du PCF en construction (voir mise à ,jour des liens ci-contre).

avec le bourreau-catcheur coco, là, forcément, le niveau politique ne remonte pas ! ! !

Voir ci-contre l'album "oeuvres d'arts" : les grèves brestoises de 1950, réprimées par la police, ont été filmées par René Vautier. 50 ans plus tard, ce film politique est adapté en Bandes Dessinées par le scénariste Kris et le dessinateur Davodeau.

Voir l'album cic-ontre "oeuvres d'art" avec les images "un homme est mort".

« En 1950, le cinéaste René Vautier vient d’achever « Afrique 50 », le premier film sur les méfaits de la colonisation française en Afrique. Sa tête est mise à prix par l’état français. Brest, rasée par les bombardements alliés pendant la guerre, est en pleine reconstruction. Mais les ouvriers du bâtiment sont en grève. La répression policière est sans pitié, les CRS font usage de leurs armes. Les blessés sont nombreux. Et…un homme est mort, tué par balle, dans les premiers rangs d’une manifestation. Il s’appelait Édouard Mazé.

La CGT

brestoise demande à Vautier, réfugié en Irlande, de venir filmer l’enterrement d’Édouard Mazé. Il accourt, armé de sa caméra de poing Bell & howell

16 mm

(retourné, ce solide engin a l’avantage de pouvoir mettre KO un CRS trop zélé). Le cinéaste débarque dans une ville chauffée à blanc.

La CGT

lui adjoint deux militants pour assurer sa protection rapprochée et le trio s’enfonce dans le vaste chantier qu’est Brest à l’époque. René Vautier filme les piquets de grève, les pelotons de CRS. Il fait face à des problèmes techniques auxquels lui et ses acolytes trouveront des solutions totalement inédites. Le court film qui résulte de ce travail est ensuite montré dans toute la ville, chaque nuit, jusqu’au jour où, épuisé par de multiples diffusions, il est totalement détruit. C’est Kris, le scénariste brestois, qui m’a raconté cette histoire dont je ne vous ai résumé que le début. Elle m’a emballé. Je lui ai proposé de la dessiner. En Janvier 2005, il m’a présenté René Vautier qui nous a donné sa bénédiction (le terme fera sans doute rugir le vieux cinéaste marxiste !). Quand il a lu le projet, Sébastien Gnaédig a été aussi enthousiaste que moi. C’est donc lui qui va éditer « Un homme est mort », chez Futuropolis fin 2006. » (http://www.etiennedavodeau.com/projets/proj.htm#)

une image "Marie-George candidate"

téléchargée à cette adresse : http://anrpcf.canalblog.com

gravure du Petit journal, mars 1906.

Reprise dans plusieurs manuels d'histoire.